Quantcast
Channel: DEKAZOM infos : blog d'information générale
Viewing all 749 articles
Browse latest View live

Cliquer sur le lien suivant..

$
0
0

 http://feedproxy.google.com/~r/PblVox/~3/CNBaLzG454k/justine-kasa-vubu-tshisekedi-persiste.html

 http://feedproxy.google.com/~r/PblVox/~3/1DF09CezXT0/rdc-ces-voyous-qui-nous-gouvernent.html
https://www.blogger.com/home


RDC : Moïse Katumbi démissionne du PPRD et du gouvernorat du Katanga

$
0
0

"..avec Kabila, rien ne peut marcher. Il faut quitter un tel homme, fortement corrompu avec son équipe, ne protège pas son peuple et qui prend son peuple en otage.."


Moise Katumbi annonce sur Twitter sa démission du PPRD. Radio Okapi/Ph. John Bompengo
Moïse Katumbi a annoncé mardi 29 septembre sur son compte Twitter sa démission du PPRD, le parti présidentiel, et du gouvernorat du Katanga.
Dans la déclaration qui accompagne son tweet, Moïse Katumbi explique les raisons de son départ du PPRD.

« Au moment où nous, peuple congolais, entrons dans la dernière ligne droite du dernier mandat constitutionnel du président de la République, les faits indiquent que depuis maintenant un an, tout est mis en œuvre pour ne pas respecter la constitution en entretenant retard, flou et illisibilité du cycle électoral et en élaborant une stratégie de glissement des dates des scrutins », affirme Moïse Katumbi.

Il ajoute être opposé « fermement à tout prétexte pour retarder les élections tel que le manque de moyens financiers. »
Moïse Katumbi déplore également « les arrestations arbitraires » et les « intimidations de toutes sortes ».

« Ces derniers temps, trop d’exemples doivent nous alerter : arrestations arbitraires de militants pro-démocratie, interdictions de sortie de films, intimidations de toutes sortes, répressions policières e plus en plus violentes, coupures des connexions Internet », énumère-t-il. Allusion faite à l’arrestation des militants pro-démocratie de Filimbi, à l’interdiction du film de Thierry Michel sur le docteur Mukwege ou encore à la coupure d’Internetà la suite des manifestations contre la modification de la loi électorale en janvier dernier.

Dans sa déclaration, M. Katumbi lance un appel à toutes les forces vives congolaises, « pour qu'ensemble nous mettions un terme au découragement, à la résignation et au fatalisme en sauvegardant notre jeune démocratie ».

La démission de Moïse Katumbi du Parti du peuple pour la reconstruction et le démocratie (PPRD) survient quelque jours après l’exclusion de sept partis (G7) de la Majorité présidentielle qui ont appelé Joseph Kabila à respecter la constitution pour les élections de 2016.

Sur Twitter, l’un des leaders du G7 a commenté la démission de Moïse Katumbi.."Olivier Kamitatu"

RDC: Ces voyous qui nous gouvernent...

$
0
0


Kabila et sa bande au pouvoir en RDCmercredi 16 septembre 2015

De gauche à droite : "Joseph Kabila", Augustin Matata Ponyo (Premier ministre) et Aubin Minaku (président de l’Assemblée nationale et secrétaire exécutif de la majorité présidentielle) 
A Kinshasa, la manifestation pacifique organisée, mardi 15 septembre, par des représentants des forces politiques et sociales à la Place Sainte-Thérèse, dans la commune kinoise de Ndjili, s’est terminée dans la violence. 
Une violence qui a le "mérite" de rappeler aux ex-Zaïrois devenus "amnésiques" que leur pays est livré depuis bientôt quinze années entre les mains d’une bande de voyous. Des voyous déguisés en hommes d’Etat.

"Dis-moi qui tu hantes, je te dirais qui tu es", dit l’adage. Des jeunes voyous - soudoyés par la mouvance kabiliste - munis de gourdins, bâtons et armes blanches, ont fondu sur le public rassemblé à la Place Sainte Thérèse provoquant une panique générale. 

Bilan provisoire : un mort et quatre blessés. Porte-parole du gouvernement ou plutôt de "Joseph Kabila", Lambert Mende Omalanga assure qu’il n’y a eu "que" trois blessés.

Pourquoi? C’est la question cruciale que se posaient, mardi soir, des observateurs. Il faut refuser de regarder ou souffrir de cécité pour ne pas voir à qui le crime profite. 

En tout cas, des témoins sont formels : des agents de la force publique présents sont restés impassibles.

Autres questions : comment peut-on expliquer ce déchaînement à l’occasion d’une réunion paisible au cours de laquelle des opposants n’ont fait que jouer le rôle que leur assigne la Constitution. 

Un rôle qui consiste à critiquer et surtout à s’opposer à la dérive dictatoriale d’une "majorité" tentée par un pouvoir sans limitation de mandat? 
Comment peut-on expliquer qu’une telle violence frisant la barbarie la plus abjecte se déroule dans un pays affublé de l’épithète "démocratique" et où le pluralisme politique et l’opposition politique sont institutionnalisés?

Des leaders de l’opposition et ceux de la société civile avaient convoqué cette rencontre pour tirer la sonnette d’alarme face aux subterfuges et autres artifices que multiplient "Joseph Kabila" et ses "petits soldats" au fur et à mesure que l’on se rapproche de la date d’expiration du second et dernier mandat du locataire du palais de la nation.

Les différents intervenants ont exigé la tenue de l’élection présidentielle en novembre 2016. La passation de pouvoir entre le Président sortant et le Président entrant étant fixée au 19 décembre de la même année. 

Ce sont les deux messages qui ont été relayés par les acteurs socio-politiques présents. Ces rappels ne constituent ni un crime ni un délit.

Depuis l’avènement de "Joseph Kabila"à la tête de l’Etat congolais, il y a bientôt quinze ans, le pouvoir d’Etat a perdu toute sa noblesse. 

Les gouvernants eux brillent par une absence totale d’exemplarité. Conséquence : les gouvernés ne se reconnaissent guère aux gouvernants. La crise de confiance est patente.

Pouvait-on s’attendre à autre chose de la part d’un "Joseph Kabila", un homme énigmatique aux origines et au parcours parsemés de zones d’ombre? Assurément pas!

Dans une interview accordée à l’hebdomadaire "Jeune Afrique" au cours des premiers mois de son pouvoir, "Joseph Kabila" déclarait notamment : "Nous avons combattu Mobutu les armes à la main en prenant des risques pour nos vies". 

Le locuteur voulait-il sous-entendre que le destin collectif des 70 millions des Congolais est devenu un butin de guerre pour quelques "pistoleros" venus du Rwanda et de l’Ouganda?

Depuis quinze ans, "Joseph Kabila" donne de lui l’image d’un individu moulé dans la violence. Un individu qui ne comprend que le langage de la force brutale. Sous son "règne", la mort est banalisée au Congo démocratique. Des vies humaines sont broyées au quotidien. 

Des exemples? 
Le double massacre (2007-2008) des adeptes du mouvement politico-religieux Bundu dia Kongo, l’assassinat de plusieurs journalistes et des défenseurs des droits humains. Les libertés individuelles sont méconnues.

Après s’être attaqué au personnel politique, le pouvoir kabiliste a trouvé d’autres cibles. Désormais les membres des familles des politiciens ne sont plus à l’abri de la furie d’un "raïs" aveuglé par sa soif maladive du pouvoir pour le pouvoir.

Face à ses contempteurs, "Joseph Kabila" repose sa confiance sur un prétendu "arsenal répressif".

En tous cas, les semaines et mois à venir pourraient désillusionner ces voyous qui nous gouvernent.

Face à une "résistance citoyenne" qui monte chaque jour en puissance, ces voyous qui nous gouvernent ne vont pas tarder à expérimenter cette phrase chère à Paul Valery : "La faiblesse de la force est de ne croire qu’à la force.". A bon entendeur... __________________ 
Baudouin Amba Wetshi
© Congoindépendant

Présidentielle 2016: l’Unafec de Kyungu est favorable à une candidature de Moïse Katumbi

$
0
0

"..Kabila doit partir,.. la seule solution aux misères politiques, viols, guerres, corruptions, injustices sociales, péril de la nation lié aux pays voisins, Etat-chaos en RDC "... Débout les congolais, la guerre est déclarée au peuple par les imposteurs.

Gabriel Kyungu wa Kumwanza, président de l'union national des fédéralistes du Congo (Unafec). Radio okapi/Ph. Colin Djuma-Musompo.
Le président de l’Union  nationale  des  fédéralistes  du Congo (Unafec), Gabriel Kyungu wa Kumwanza, affirme que son parti est favorable à une candidature de Moïse Katumbi à l’élection présidentielle prévue en 2016 en RDC. M. Katumbi qui a démissionné de son poste de gouverneur du Katanga et du parti présidentiel le PPRD ne s’est pas déclaré candidat à l’élection présidentielle de l’année prochaine.
Au cours d’une conférence de presse, tenue vendredi 2 octobre, à Lubumbashi (Haut-Katanga).
«Les combattants de l’Unafec me disent actuellement que Moïse Katumbi n’appartenant pas à leur parti, c’est leur œuf. Si nous apprenons qu’il a publié un avis comme quoi il est prenable, il est candidat quelque part. Il cherche à loger sa candidature, l’Unafec est là », a déclaré samedi 3 octobre Gabriel Kyungu, l’un des leaders du G7, les sept partis exclus de la Majorité présidentielle (MP) après avoir adressé une lettre ouverte au chef de l’Etat lui demandant de respecter la constitution pour les élections de 2016.
Kyungu wa Kumwanza a indiqué que cette proposition de candidature sera soumise aux autres membres du  G7 lors de la prochaine assemblée générale des leaders de cette plate-forme politique.
En outre, le président de l’Unafec a fait savoir que pour la présidentielle de 2016 le G7 allait soutenir tout candidat qui soutiendra dans son projet  de  société  la  réunification des  provinces  démembrées.
«Qu’on ne se trompe pas, nous irons aux élections et luttons pour ce que nous appelons l’identité katangaise. Pour l’Unafec, quiconque va développer un programme dans lequel nous allons trouver l’aspect de la réunification du Katanga et de la sauvegarde de l’identité katangaise, sera notre candidat que nous allons proposer aux autres », a fait savoir le président de l’Unafec.
Il a, par ailleurs, annoncé la publication de l’acte constitutif du G7 qui, selon lui, va bientôt s’organiser comme une plate-forme politique.
« Nous consacrons notre charte, c’est-à-dire notre acte constitutif. Nous allons organiser le G7 comme une plateforme politique. Et à partir de là, tout sera ouvert », a annoncé Gabriel Kyungu.
Moïse Katumbi a démissionné du PPRD le 29 septembre dernier, dénonçant un certain nombre de dérives imputables, selon lui, aux autorités de Kinshasa.
Interrogé au cours d’une séance des questions-réponses sur Twitter au sujet de sa probable candidature à la présidentielle de 2016, il a fait savoir que pour le moment, sa priorité est « d’assurer la tenue des élections et la sauvegarde de la démocratie ».
Lire aussi sur radiookapi.net: 

RDC : des opposants saluent le Front républicain préconisé par Moïse Katumbi

$
0
0

Debout le peuple congolais, la patrie est en danger..., combattons pour la liberté des congolais.

Le fait de ne pas combattre pour la patrie n'épargnera pas nos vies, donc nous devons combattre les imposteurs pour sauver l'avenir de notre patrie et nos enfants..

Jean Claude Mvuemba, Président National du MPCR et député national, le 17/02/2012. Radio Okapi/Ph. Aimé-NZINGA
Les opposants congolais saluent l'idée de constituer un front républicain pour sauvegarder la démocratie et faire respecter la constitution. Dans une déclaration faite vendredi 2 octobre, le président du Mouvement du peuple congolais pour la république (MPCR), Jean-Claude Mvuemba et celui de l'Alliance des Travaillistes pour le Développement (ATD) de José Makila affirment soutenir cette idée préconisée par l'ancien gouverneur de l'ex-Katanga, Moïse Katumbi.
Après sa démission du gouvernorat de l'ex province du Katanga, Moïse Katumbi a accordé vendredi une interview à Radio France internationale (RFI). Il dit faire appel à un front républicain « pour sauvegarder notre jeune démocratie », a-t-il déclaré.
Jean-Claude Vuemba du MPCR, souhaite la bienvenue à Moïse Katumbi dans l'opposition.
« L'opposition à travers la dynamique [DTP : Dynamique Tshisekedi président] ainsi que l'UDPS à travers plusieurs autres plates formes a toujours réclamé un front uni pour sauvegarder la démocratie. Aujourd'hui, si Moïse Katumbi veut le relancer, nous devons nous accrocher à ça», a affirmé Jean-Claude Mvuemba.
José Makila encourage aussi cette idée et invite Katumbi à rejoindre le camp de la patrie.
« S'il y a des gens qui défendent cette constitution, je pense qu'ils sont de bon côté.  J'apprécie le courage politique du gouverneur Moïse Katumbi qui en dépit de tout ce qu'il a, a bravé le risque et accepte de rejoindre le camp de la patrie.
Il a rappelé que « tout parti politique ou tout regroupement ne soutenant pas les actions du gouvernement ou ne prenant pas part au gouvernement, devient automatiquement de l'opposition.
« L'opposition n'appartient à personne », a signifié José Makila.
Moïse Katumbi a annoncé mardi 29 septembre sa démission du PPRD, le parti présidentiel et du gouvernorat du Katanga. Dans sa déclaration politique publiée sur son compte Twitter, il explique les raisons de son départ du PPRD par le fait que, selon lui, « tout est mis en œuvre pour ne pas respecter la constitution en entretenant retard, flou et illisibilité du cycle électoral et en élaborant une stratégie de glissement des dates des scrutins ».​
Lire aussi sur radiookapi.net: 

M. Katumbi: «Lutter pour sauvegarder notre jeune démocratie» en RDC

$
0
0

Kabila doit partir, il a détruit notre nation et l'a mis à la merci des envahisseurs étrangers et des multinationales

M. Katumbi: «Lutter pour sauvegarder notre jeune démocratie» en RDC
 
L'ancien gouverneur du Katanga Moïse Katumbi lors d'une interview à Lubumbashi en RD Congo, le 2 juin 2015. AFP PHOTO / FEDERICO SCOPPA

RFI : Dans votre déclaration politique du 29 septembre, vous dites que tout est mis en œuvre depuis un an pour ne pas respecter la Constitution et retarder les élections. Est-ce qu’il y a une stratégie qui est pensée de longue date au sein du parti au pouvoir le PPRD ?
C'est l'un des poids lourds de la classe politique congolaise. Moïse Katumbi, le riche gouverneur de la riche province du Katanga, quitte le parti PPRD au pouvoir et démissionne de son poste. Si pour l'entourage du président Kabila, c'est un «non-évènement», 
pour d'autres, c'est un séisme politique. Katumbi sera-t-il candidat à la présidentielle de l'an prochain ? En ligne de son fief de Lubumbashi, le leader katangais répond aux questions de RFI.

Moïse Katumbi Oui, il y a vraiment un flou au sein de notre parti. C’est pourquoi j’ai décidé de partir. Parce que ça fait longtemps, ça fait plus ou moins deux ans que j’essaie de partager avec mes frères du PPRD le risque de tuer vraiment notre jeune démocratie.
Avez-vous assisté à des réunions où cette stratégie du glissement a été pensée et mise en œuvre ?
Pas du tout, parce que j’avais ma position et je n’étais pas d’accord avec la majorité, parce que nous allons vers le glissement. Et un jour, on va nous dire que le glissement est vraiment constitutionnel et je crois que si nous allons comme ça, nous n’allons pas aller aux élections en 2016. C’est pourquoi moi-même, j’ai décidé de me ranger à côté de tous les démocrates pour dire non à cette manœuvre.
Donc pour vous les sept élections locales qui sont prévues avant les élections nationales de novembre 2016, c’est une stratégie pour surcharger le calendrier électoral ?
C’est une stratégie, c’est une machine qui est en marche. C’est à nous avec la société civile, avec toutes les forces vives, d’essayer que cette machine soit vraiment cassée.
Est-ce que vous-même, depuis votre lettre de démission du 29 septembre, vous avez reçu des menaces ?
Vous savez, les menaces c’est chaque jour, surtout après ma démission. Et je voudrais dire quelque chose : quand j’ai démissionné, c’est le ministre Lambert Mende qui a parlé de ma richesse, il a parlé de la province que j’ai gérée. J’ai géré la province du Katanga qui est devenue une province pilote. Quand je suis arrivé à la tête de la province du Katanga – je vais donner un exemple – les recettes de la douane c’était 18 millions de dollars l’an. Et aujourd’hui, la douane du Katanga, c’est plus ou moins un milliard de dollars l’an. Et je voudrais aussi souligner qu’entre 2009 et 2010, j’étais traduit en justice en Belgique et en Angleterre et j’ai gagné le procès. Je suis prêt à faire une table ronde parce que je vais crever l’abcès.
Vous parlez du porte-parole du gouvernement. Dans sa réponse à votre lettre, justement, Lambert Mende dit que vous n’avez pas de leçon de gouvernance à donner, vous qui avez chassé du Katanga des magistrats qui voulaient enquêter sur votre gestion de gouverneur.
Je n’ai jamais chassé de magistrats au Katanga. C’est pourquoi je voudrais qu’on puisse avoir une table ronde et que chacun s’explique sur la source de sa richesse, où est-ce qu’il a eu de l’argent. Je suis né au Katanga, j’ai grandi au Katanga, je connais toutes les familles.
Mais c’est vrai que vous êtes quand même l’un des hommes les plus riches du Congo et que certains s’interrogent sur l’origine de votre fortune ?
Ça dérange parce que j’ai travaillé pour mon argent. Nous sommes une grande famille d’hommes d’affaires. Tous les Congolais connaissent très bien notre famille, en commençant par mon père, mon grand frère Raphaël Katebe Katoto. Dans le temps, il y avait deux grands opérateurs économiques en République démocratique du Congo : il y avait mon grand frère, Katebe Katoto, il y avait le père de Jean-Pierre Bemba. Il y avait aussi la famille Moleka. Je peux expliquer l’historique. C’est pourquoi je demande cette table ronde avec monsieur Mende et tous les autres politiciens et nous serons prêts à témoigner devant le peuple congolais.
Votre démission du PPRD tombe quelques jours après celle des sept frondeurs du G7. Est-ce que leur initiative vous a encouragé dans votre démarche ?
Pas du tout, pas du tout. Je suis une grande personne. J’ai pris ma décision, j’étais libre. Les autres ont pris leur décision, ils ont formé leur groupe. Jusque-là, je n’ai pas de groupe. Je me suis dit que j’allais prendre un petit repos.
Mais parmi ces sept frondeurs, il y a trois personnalités du Katanga, comme vous : le doyen Mwando Nsimba, ancien vice-président de l’Assemblée nationale, Gabriel Kyungu, ancien président de l’Assemblée provinciale et puis Dany Banza de l’Avenir pour le Congo. Est-ce qu’il n’y a pas de fait un rassemblement politique qui est en train de se former au Katanga ?
Non, pas du tout. Vous savez, le président Mwando Nsimba a commencé la politique avant même ma naissance. Donc je crois qu’il a vu comme moi qu’il y avait un problème. Même le président Kyungu, même les autres. Ce n’est pas seulement les ressortissants du Katanga.
Mais vous quittez un parti. Est-ce pour en créer un nouveau ou est-ce pour rester tout seul dans votre coin ?
Moïse Katumbi ne va pas créer de parti politique. Moïse Katumbi va réfléchir sur son avenir.
Mais pouvez-vous continuer en politique sans être dans un parti ?
Non. Je fais un appel à toutes les forces vives pour que nous puissions lutter pour sauvegarder et renforcer notre jeune démocratie. Et je serai avec tout le monde, que ce soit la majorité présidentielle, l’opposition, le G7 et la société civile. Je serai à leur côté pour que nous puissions reprendre la liberté d’expression, les droits de l’homme, et renforcer cette jeune démocratie. Je fais un appel à toutes les forces vives.
Est-ce que vous pensez comme certains de vos compatriotes, notamment dans l’opposition et dans le G7, à un front républicain ?
Un front républicain oui, parce que si je fais un appel, c’est pour que nous puissions nous tous lutter pour sauvegarder notre jeune démocratie.
Et dans cette hypothèse est-ce que vous pourriez être candidat à la présidentielle de l’année prochaine ?
Vous savez, nous ne sommes pas encore en 2016. Je suis en train de voir comment nous pouvons sauver d’abord la démocratie dans notre pays. C’est le plus important.
Certains disent que vous êtes d’abord un homme d’affaires et que finalement vous n’irez pas au bout d’un projet politique comme celui d’être candidat l’année prochaine.
J’étais homme d’affaires dans le temps, je suis né dans une famille d’hommes d’affaires. Je me suis lancé en politique pour aider la population. Et je vais le rester. Je serai à l’écoute de la population pour aider cette population.

Sur le même sujet
  • RDC

    RDC: le départ de Moïse Katumbi redistribue-t-il les cartes?
  • RDC

    RDC: la Céni ne propose toujours pas de nouveau calendrier électoral
  • RDC

    RDC: un projet de loi sur le référendum inquiète l’opposition
  • RDC

    RDC: Kabila fait le ménage dans son gouvernement

Conflit entre le Rwanda et le BURUNDI

$
0
0

Mshauri mkuu wa ubalozi wa Rwanda afukuzwa Burundi 

Kagame et Nkurunziza,.. Les deux dictateurs qui envahissaient l'Est de la RDC sont en conflit ouvert... cela débouchera probablement aux conflits rotatoire du grand lac qui se répètent sans fin

Rais wa Rwanda Paul Kagame (kushoto) na Rais wa Burundi Pierre Nkurunziza (kulia).
Rais wa Rwanda Paul Kagame (kushoto) na Rais wa Burundi Pierre Nkurunziza (kulia).
AFP PHOTO/JOSE CENDON

Na RFI
Afisa mmoja wa Ubalozi wa Rwanda mjini Bujumbura amefukuzwa kuondoka nchini Burundi na kurejea nchini mwake kwa tuhuma za kuingilia masuala ya ndani ya nchi ya Burundi kufuatia mgogoro wa kisiasa unaoendelea nchini humo.

Désiré Nyahuririra ambaye ni mshauri wa Balozi wa Rwanda nchini Burundi amefukuzwa nchini Burundi na kulazimika kuondoka ndani ya saa chache zijazo kulingana na Ibara ya 9 ya Mkataba wa Vienna kuhusu Mahusiano ya kidiplomasia, imetangazwa na serikali ya Burundi bila kutoa maelezo zaidi.
Kwa Upande wa serikali ya Rwanda, Wizara ya Mombo ya Nje imesema kuwa haina taarifa yoyote ya kufukuzwa kwa mwanadiplomasia wake, na kuamini kuwa huenda jambo hilo likawa kweli kwa vile ukaidi na uzembe wa Serikali ya Burundi vinaelekea kulipelekea taifa hilo katika dimbwi la machafuko, amesema afisa mmoja wa serikali ya Rwanda.
Désiré Nyahuririra amekuwa mtu muhimu katika kuhakikisha mahusiano ya Rwanda na Bujumbura yanaimarika kwa njia ya maridhiano baina ya chama cha CNDD-FDD na Rwanda, hasa kupitia kwa Jenerali wa Burundi Adolphe Nshimirimana aliyeuawa mwezi Agosti uliopita.

Kufukuzwa kwa Désiré Nyahuririra ni hatua nyingine katika mdororo wa Mahusiano baina ya Rwanda na Burundi ambapo Rwanda inanyooshewa kidole na serikali ya Burundi kuwapa mafunzo ya kijeshi waasi wa Burundi, huku Burundi nayo ikidaiwa kuwahifadhi waasi wa kihutu wa Rwanda wa FDLR.

Pas d’élections en RDC en 2016, Kabila est clair

$
0
0

Kabila est déterminé à semer du chaos par lequel il va rester au pouvoir au-delà de 2016..., tous les signes et les stratagèmes montés par lui, sont clairs et démontrent qu'il ne partira pas du pouvoir, il veut régner sur la misère du peuple congolais toute sa vie..

Une chose est vraie, .. kabila est venu au pouvoir par les armes, il n'y sortira que par les armes. Il marche sur la ligne de Kagame, de Nkurunziza, de Museveni et Sassou.. les plus grand tyrans et dictateurs africains

Que les congolais de bonne foie organisent les patriotes pour chasser Kabila  et libérer le peuple meurtri par un régime corrompu et incompétent. 

L'opposition doit arrêter de nous parler de élections de 2016, car il y en aura pas et en Afrique on organise pas les élections pour les perdre 

Démission d’André Mpungwe : l’opposition accuse la MP « d’embrigader la Ceni »



Martin Fayulu, juillet 2014. Radio Okapi/Ph. John Bompengo
La Dynamique de l’opposition qui réagit à la démission du vice-président de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni), André Mpongwe, accuse la Majorité présidentielle (MP) « d’embrigader la centrale électorale ». Dans une déclaration faite dimanche 1er novembre à Radio Okapi, le président de l’Engagement pour la citoyenneté et le développement (Ecide), Martin Fayulu, exige à la tête de la Ceni un président nommé par l’Eglise catholique.
« Il faut dire les choses comme elles le sont. On l’a contraint à démissionner. C’est le pouvoir kabiliste qui a demandé à M. Mpongwe de démissionner. Nous pensions que la Ceni était indépendante et neutre. La majorité kabiliste vient de démontrer que c’est elle qui contrôle la Ceni », a fustigé Martin Fayulu.

Voici le discours choc de PIERRE LUMBI, président du MSR

$
0
0
Il est de notre devoir de Républicain et de Citoyen de nous opposer à la révision constitutionnelle, au glissement et au troisième mandat « , martèle le leader du MSR
De tous les  » sept patrons « , il était celui que l’on ne voyait plus, dont on n’a plus entendu la voix depuis le tournant de l’épopée G7. Un halo de mystère commençait à entourer le personnage de Pierre Lumbi. Comme si il était encore  » Spécial « . 
Hier jeudi 5 novembre 2015 au Centre Nganda, l’Autorité morale du Mouvement social pour le renouveau (MSR) a fait sa réapparition. Au grand bonheur de plus de 500 délégués au deuxième congrès du parti. Standing ovation pour le stratège du MSR. Discours très G7 pour le leader de celle qui était la deuxième force politique de la Majorité : respect de la Constitution et élections dans le délai.  » Il est de notre devoir de Républicain et de Citoyen de nous opposer à la révision constitutionnelle, au glissement et au troisième mandat « , martèle Pierre Lumbi. Occasion pour le leader du MSR de rendre hommage aux cadres et militants du parti qui, en dépit des  » menaces et autres intimidations « , ont su faire bloc. Même message d’encouragement aux partenaires du G7. Ce vendredi, jour de clôture du congrès,  » d’importantes résolutions sont attendues « , renseigne un cadre du parti. FDA
DISCOURS D’OUVERTURE DU DEUXIEME CONGRES DU MSR
C’est avec une immense joie, mais aussi avec beaucoup d’humilités que je viens répondre aujourd’hui au devoir du Parti pour procéder à l’ouverture du Deuxième Congrès, après celui qui s’est tenu en juillet 2011 au Jardin Botanique de Kinshasa,

Ainsi, je vous prie d’accepter, au nom du Bureau Politique et au mien propre, mes sincères remerciements pour avoir répondu massivement et avec promptitude à notre invitation, malgré vos différentes occupations. Ma gratitude s’adresse particulièrement aux délégués en provenance des 26 provinces de notre pays.

Je vous souhaite à tous la bienvenue à Kinshasa auprès des instances nationales de votre Parti. Votre prompte réponse à notre invitation est, sans doute, une preuve éloquente de votre engagement à donner le meilleur de vous-même dans les orientations, les réflexions, les débats et les décisions sur les enjeux auxquels est confronté notre Pays en ce moment.
Pour cela, je vous invite à réfléchir sur les points ci-après :
1. Approbation du Nouveau Contrat Social du MSR, dénommé : Plan Stratégique de Développement de la RDC ;
2. Situation politique de l’heure, en ce qui concerne notamment :
o Le respect de la constitution ;
o Le processus électoral et son calendrier ;
o La CENI ;
o Le dialogue ;
o La nomination des commissaires spéciaux.
3. Mise à jour de nos statuts.

Votre bureau politique soumet à votre appréciation un projet d’un Nouveau Contrat Social dénommé Plan Stratégique de Développement de la République Démocratique du Congo.

Ce plan a été conçu et élaboré par des experts triés parmi les meilleurs d’entre nous. Il fixe les axes et principales étapes de développement de notre pays, d’ici à 2035.
Ce plan, centré sur la personne humaine et le respect de l’environnement, privilégie, outre l’exploitation minière et pétrolière, la diversification des sources de revenus et le développement des secteurs porteurs des richesses tels que l’agriculture, l’industrie et la pêche.

Des secteurs porteurs de richesse qui devraient financer notre politique sociale. C’est dire que nous devons, en fait, nous donner les moyens de notre politique. Avec un tel plan, le MSR consolide sa vision de développement basée sur l’économie sociale de marché.

Il va, en outre, nous permettre d’améliorer sensiblement notre Indice de Développement Humain. Aujourd’hui, les rapports du PNUD pour 2011 et 2013 classent notre pays 187ème sur 187 pays concernés. Cela est inacceptable pour un pays aussi potentiellement riche que le nôtre.

Conformément à l’alinéa 2 de l’article 25 des Statuts de notre Parti, le présent Congrès devait se tenir l’année passée, trois ans après le précédent. Ce retard est justifié par des circonstances indépendantes de la bonne volonté des organes dirigeants du Parti. Pour cela, nous vous présentons nos excuses et sollicitons votre compréhension.

Chers Camarades ;
Les présentes assises se déroulent à un moment où notre pays traverse une période difficile, très difficile. En effet, celui-ci fait face à une volonté délibérée, déterminée et planifiée pour liquider les valeurs républicaines qui constituent le socle de notre Nation. Ce complot est moralement et politiquement inacceptable. Nous devons, non seulement le dénoncer et le condamner, mais aussi inviter notre peuple à s’y opposer farouchement.

Il est de notre devoir de Républicain et de Citoyen de nous opposer à la révision constitutionnelle, au glissement et au troisième mandat. Aucune menace, aucune intimidation ne nous feront reculer de cette option car elle est juste et constitutionnelle. Ni la corruption, ni les différents autres types de sollicitations dont les dirigeants et membres de notre parti font l’objet ne nous détourneront pas de cet engagement

Chers Camarades ;
C’est ici que je saisi l’occasion pour rendre hommage et féliciter avec émotion, tous ceux des nôtres qui ont su résister à l’argent, aux honneurs, aux menaces, aux intimidations de toutes sortes et sans aucune concession pour défendre la République.

Vous le savez, une profonde divergence des vues avec nos anciens partenaires a fait que le MSR a pris ses responsabilités et ses distances. Tous nos élus, nos ministres, nos cadres ont fait bloc, et certains ont préféré démissionner de leurs postes, renonçant ainsi à des privilèges personnels, plutôt que de céder aux multiples tentations de trahison. Qu’ils soient encore ici félicités et applaudis !

A tous ceux qui ont renoncé aux postes et aux privilèges personnels pour privilégier l’intérêt supérieur de la Nation, je voudrais dire aujourd’hui merci, au nom du Parti tout entier. Je dis merci ; au nom de notre peuple, je dis merci.
Ils viennent de nous donner une belle leçon de civisme politique ; ils viennent de nous montrer que rien de grand et de beau n’est donné aux hommes gratuitement et que le peu qu’ils peuvent conquérir pour la liberté, la justice et l’égalité se paie au prix des sacrifices importants. Par ce geste, ils ont engagé notre peuple dans la lutte pour rétablir une République digne, fière de ses valeurs, une société de droits et devoirs et une démocratie respectable et respectée.
Il s’agit là d’un bel héritage que nous léguons aux générations futures…, nos enfants et petits enfants. En cela, Mesdames et Messieurs, l’histoire leur sera reconnaissante.

Chers camarades,
Nous sommes dans une période de turbulence, mais nous savons ce que nous voulons. Ce que nous voulons ce que notre peuple reste debout. Ces journées de travaux de congrès, doivent nous permettre de réfléchir aux meilleures options pour notre peuple, mais aussi de resserrer les rangs.
Le MSR doit rester soudé, comme les épis de maïs, notre symbole, poussant tous dans la même direction, celle de la prospérité et celle de la victoire Sur ce, je déclare ouvert le deuxième congrès du MSR et vous souhaite bon et actif congrès à tous.

Fait à Kinshasa, le 05 novembre 2015. 
Pierre LUMBI Président National du Mouvement Social pour le Renouveau.

Kabila est totalement vomis, mais il veut s'accrocher au pouvoir pour glisser

$
0
0

Constitution : le refus se durcit dans le fief de Kabila

Constitution : le refus se durcit dans le fief de KabilaDes forces vives katangaises sont venues à Kinshasa pour livrer leur message contre toute révision, modification ou changement de la Loi suprême en vigueur.
Quatre ténors de la plateforme des organisations et associations membres de la Concertation nationale pour la bonne gouvernance en RDC ont tenu en haleine hier mercredi 10 septembre un groupe de journalistes sur les brûlantes questions de l’heure au cours dune conférence de presse animée au Centre de rééducation pour handicapés physiques situé à Gombe. Dans un langage sans fioriture, ils répugnent toute tentative de révision, de modification ou du changement dé la Constitution telle qu’envisage la Majorité au pouvoir depuis les élections de
2011.
RDC: quatre députés MSR font allégeance à la Majorité présidentielle
Sans rancune à l’endroit de Joseph Kabila qu’ils ne se cachent pas d’avoir soutenu lors du dernier scrutin, ils lui demandent cependant de ne pas personnifier le pouvoir et de respecter le serment prêté devant Dieu et la nation en passant le flambeau à une autre personne au nom de l’alternance démocratique.
Ces orateurs croient bien s’assumer en demandant ouvertement à leur élu du 28 novembre 2011 de respecter sa parole donnée en tournant le dos à tous les membres de sa cour alignant toutes sortes d’artifices mêmes le plus loufoques dans l’unique but de tailler la constitution sur mesure pour un troisième mandat présidentiel en faveur de ce dernier au mépris des engagements pris.
N’étant pas d’accord avec cette démarche suicidaire, les dirigeants des organisations et associations membres de la plateforme pour la bonne gouvernance en RDC se sont mis debout en insistant qu’il” est du devoir patriotique pour chaque citoyen de défendre et de protéger la constitution de la République contre toute forme de sa violation “. MM Oscar Rachidi Akida, Corneille Mbuyu Mitonga, Jean-Luc Kayoka et Me Thimothée Mbuya respectivement Président, Vice-président, Secrétaire et Porte-parole de ladite plateforme, ont soutenu haut et fort voire à maintes reprises n’avoir aucun problème avec Joseph Kabila Kabange à qu’ils demandent juste de ne pas tomber dans le système qu’il a combattu lors de la guerre menée par l’Alliance des forces démocratiques de libération, Afdl en sigle.
Ces intervenants déconseillent la réinstallation de la dictature dont les méfaits sont décriés jusqu’à ces jours.
Les arguments n’ont pas manqué à ces orateurs pour défendre leur prise de position et renvoyer aux études ceux de la cour qui tiennent à la révision ou à l’élaboration d’une nouvelle constitution pour leurs propres intérêts, égoïstes du reste. Le conseil, Un succès sans successeur est échec “, est adressé aux défenseurs de la thèse de voir Joseph Kabila rempiler sur de certaines performances dans la réhabilitation et construction des infrastructures. Un autre argument massue a’ été annoncé pour montrer la mauvaise foi des révisionnistes.
Le Code minier resté à l’avantage des individus pendant dix ans n’a été retouché qu’après ce délai. Joseph Kabila qui s’en était plaint au cours du Forum minier tenu à Lubumbashi a dû respecter cette petite loi pendant que la suprême a été taillée sur mesure cinq an après sa promulgation à quelques jours de la tenue de l’élection présidentielle du 28 novembre 2011. Et aujourd’hui, on veut tenter la même aventure périlleuse alors que l’exposé des motifs de la constitution en vigueur depuis février 2006 reste d’actualité.
Pour cette plateforme mobilisée à faire obstacle à toute tentative de prendre le pouvoir par la force, le respect de la Constitution doit rester dans la culture des Congolais. Il en est aussi du mandat une fois renouvelable pour toujours en vue d’éviter la personnification du pouvoir.
Le Président de la République, le Parlement, la Cour suprême de justice, la population congolaise et les partenaires multi et bilatéraux de la RDC ont été invités chacun en ce qui le concerne à barrer la route à toute manœuvre dilatoire engrangée pour dénaturer la Constitution dans l’unique but de conserver maladroitement le pouvoir. Ainsi, cette plate forme exige à Joseph Kabila de respecter scrupuleusement les termes de l’engagement contenu dans le serment fait à la nation, d’user de ses prérogatives de garant de la Constitution en décourageant toute initiative de révision partielle ou totale de la loi dès lois et de faire poursuivre quiconque proposerait d modifier les article 219 et 220 pour haute trahison.
Les parlementaires sont tenus de considérer que toute proposition de révision totale ou partielle de la Constitution visant les articles 197,219 et 220 est constitutive de l’infraction imprescriptible de haute trahison, de la rejeter et la déclarer non fondée. L’Assemblée nationale et le Sénat sont appelés à retirer les propositions de calendrier électoral taxé de partiel et d’anticonstitutionnel introduit par la Ceni dont la démission du bureau est aussi exigée en remplacement d’un autre capable de rassurer les différents acteurs politiques. 
La Cour suprême de justice est tenue de son côté d’inculper de droit et d’office pour l’infraction imprescriptible de haute trahison toute personne initiatrice d’une proposition de révision de la constitution visant les articles 197,219 et 220.
Aux partenaires multi et bilatéraux, il est demandé de soutenir le peuple congolais dans sa lutte pour l’instauration et la consolidation de la démocratie en dénonçant toute tentative de révision de la constitution visant à s’éterniser au pouvoir ou prolonger le mandat du Président de la République. 
Il est aussi sollicité de la part de la Monusco, du Conseil de sécurité de l’Onu, de l’Union Africaine, de la Sadc, de la Cirgl de geler les avoirs des personnalités congolaises impliquées dans le coup d’Etat constitutionnel en gestation en RDC, de les sanctionner et de mettre sous embargo politique et économique les autorités congolaises en cas de modification en force de la Loi suprême.
La population congolaise, comme souligné précédemment, a la charge de s’opposer à toute tentative de révision partielle ou totale de la constitution. Elle est aussi invitée à dénoncer toute tentative d’achat de conscience, de tricherie et intimidation et de défendre les acquis de la démocratie, le respect des droits humains, l’amour de la patrie et d’unité nationale.
MKM

Article 1

$
0
0
RDC : l’autre victoire du TP Mazembe
(Afrikarabia 09/11/15)
En devenant champion d’Afrique pour la cinquième fois de son histoire, le Tout Puissant Mazembe propulse Moïse Katumbi au rang de « héros national », au grand dam de la majorité présidentielle qui voit dans l’ex-gouverneur du Katanga un dangereux rival pour la présidentielle de 2016.
Tout semble lui réussir. Ce dimanche, dans son fief de Lubumbashi, l’ex-gouverneur du Katanga est devenu le Tout Puissant Moïse Katumbi. Son club de football, le Tout Puissant Mazembe, a effet remporté pour la cinquième fois la Ligue des champions d’Afrique face à l’USM d’Alger. Une victoire attendue, mais qui prend un drôle de relief en République démocratique du Congo (RDC). Car en dehors des stades de football, Moïse Katumbi joue un autre match… sur le terrain politique.
Et Katumbi franchit le rubicon
Le climat est particulièrement tendu à Kinshasa à un an de la prochaine élection présidentielle, prévue fin 2016. Le président Joseph Kabila est soupçonné de vouloir s’accrocher au pouvoir, alors que la Constitution lui interdit de briguer un troisième mandat. Sur la route, de la présidentielle, Joseph Kabila ou le futur candidat de la majorité présidentielle risque de retrouver un ancien allié : Moïse Katumbi, le très populaire ancien gouverneur du Katanga… et l’heureux président du TP Mazembe. En septembre, le Tout Puissant Moïse a franchi le rubicon en démissionnant du parti présidentielle, dénonçant la volonté de Joseph Kabila de vouloir modifier la Constitution pour rester au pouvoir. Depuis cette date, plus personne n’est dupe des ambitions présidentielles de l’ex-gouverneur de la riche province minière.
Un match politique
En quelques jours, le très charismatique président du TP Mazembe est passé d’allié du président Kabila à rival, dans son propre fief katangais. Le match de dimanche a donc pris une tournure politique inattendue. La victoire du TP Mazembe deviendrait, de fait, la victoire de son président, possible candidat à la présidentielle. Pour preuve de l’importance de l’enjeu politique du match contre Alger : la mobilisation de toute la classe politique congolaise. Après la première victoire du match aller, les caciques de la majorité s’étaient peu manifestés publiquement pour encourager l’équipe de Lubumbashi. Dans les journaux, les caricaturistes s’étaient amusés de la situation. Dans Le Potentiel, le titre le plus lu à Kinshasa, le dessinateur Kash avait représenté les « gros bras » de la majorité arborant des maillots « vive l’Algérie ».
L’allié Kamerhe dans les tribunes
Ce dimanche, le stade de Lubumbashi était « the place to be » pour les politiques. Même Evariste Boshab, ministre de l’Intérieur et haut responsable du parti présidentiel était assis à côté de Moïse Katumbi. Le Premier ministre, Matata Ponyo s’est même fendu d’un message de soutien sur son compte Twitter. Mais c’est dans l’opposition que les leaders se sont bousculés à Lubumbashi pour assister au match. La visite la plus remarquée a sans doute été celle de Vital Kamerhe, le patron de l’UNC, qui est même venu saluer le Tout Puissant Moïse avant le match dans sa résidence privée. La venue de Kamerhe symbolise le mieux les nouvelles alliances qui sont en train de se nouer entre l’opposition et Katumbi. Même si l’ex-gouverneur a rencontré l’opposant historique de l’UDPS, Etienne Tshisekedi, et passé un coup de fil au patron du MLC, Jean-Pierre Bemba, c’est bien avec Vital Kamerhe que le président du TP Mazembe semble le plus proche. Il faut dire que comme lui, Kamerhe a été un très proche de Joseph Kabila, avant de claquer la porte du parti présidentiel en 2009.
Au centre du jeu politique
Avec la victoire du TP Mazembe ce dimanche, Moïse Katumbi a réussi en 90 minutes d’un match de football, ce qu’il aurait mis plusieurs mois à réaliser en campagne électorale : fédérer tout une nation et montrer à tous les Congolais un pays qui gagne. En s’affichant dans les tribunes, avec à la fois Boshab et Kamerhe, Katumbi démontre qu’il peut être le point de convergence entre majorité et opposition. Une position stratégique qui le place au centre du jeu politique à un an de la présidentielle 2016. Une place idéale sur un terrain de football… comme en politique.
Christophe RIGAUD
- See more at: http://fr.africatime.com/republique_democratique_du_congo/articles/rdc-lautre-victoire-du-tp-mazembe#sthash.Ootn0aze.dpuf
RDC : l’autre victoire du TP Mazembe
(Afrikarabia 09/11/15)
En devenant champion d’Afrique pour la cinquième fois de son histoire, le Tout Puissant Mazembe propulse Moïse Katumbi au rang de « héros national », au grand dam de la majorité présidentielle qui voit dans l’ex-gouverneur du Katanga un dangereux rival pour la présidentielle de 2016.
Tout semble lui réussir. Ce dimanche, dans son fief de Lubumbashi, l’ex-gouverneur du Katanga est devenu le Tout Puissant Moïse Katumbi. Son club de football, le Tout Puissant Mazembe, a effet remporté pour la cinquième fois la Ligue des champions d’Afrique face à l’USM d’Alger. Une victoire attendue, mais qui prend un drôle de relief en République démocratique du Congo (RDC). Car en dehors des stades de football, Moïse Katumbi joue un autre match… sur le terrain politique.
Et Katumbi franchit le rubicon
Le climat est particulièrement tendu à Kinshasa à un an de la prochaine élection présidentielle, prévue fin 2016. Le président Joseph Kabila est soupçonné de vouloir s’accrocher au pouvoir, alors que la Constitution lui interdit de briguer un troisième mandat. Sur la route, de la présidentielle, Joseph Kabila ou le futur candidat de la majorité présidentielle risque de retrouver un ancien allié : Moïse Katumbi, le très populaire ancien gouverneur du Katanga… et l’heureux président du TP Mazembe. En septembre, le Tout Puissant Moïse a franchi le rubicon en démissionnant du parti présidentielle, dénonçant la volonté de Joseph Kabila de vouloir modifier la Constitution pour rester au pouvoir. Depuis cette date, plus personne n’est dupe des ambitions présidentielles de l’ex-gouverneur de la riche province minière.
Un match politique
En quelques jours, le très charismatique président du TP Mazembe est passé d’allié du président Kabila à rival, dans son propre fief katangais. Le match de dimanche a donc pris une tournure politique inattendue. La victoire du TP Mazembe deviendrait, de fait, la victoire de son président, possible candidat à la présidentielle. Pour preuve de l’importance de l’enjeu politique du match contre Alger : la mobilisation de toute la classe politique congolaise. Après la première victoire du match aller, les caciques de la majorité s’étaient peu manifestés publiquement pour encourager l’équipe de Lubumbashi. Dans les journaux, les caricaturistes s’étaient amusés de la situation. Dans Le Potentiel, le titre le plus lu à Kinshasa, le dessinateur Kash avait représenté les « gros bras » de la majorité arborant des maillots « vive l’Algérie ».
L’allié Kamerhe dans les tribunes
Ce dimanche, le stade de Lubumbashi était « the place to be » pour les politiques. Même Evariste Boshab, ministre de l’Intérieur et haut responsable du parti présidentiel était assis à côté de Moïse Katumbi. Le Premier ministre, Matata Ponyo s’est même fendu d’un message de soutien sur son compte Twitter. Mais c’est dans l’opposition que les leaders se sont bousculés à Lubumbashi pour assister au match. La visite la plus remarquée a sans doute été celle de Vital Kamerhe, le patron de l’UNC, qui est même venu saluer le Tout Puissant Moïse avant le match dans sa résidence privée. La venue de Kamerhe symbolise le mieux les nouvelles alliances qui sont en train de se nouer entre l’opposition et Katumbi. Même si l’ex-gouverneur a rencontré l’opposant historique de l’UDPS, Etienne Tshisekedi, et passé un coup de fil au patron du MLC, Jean-Pierre Bemba, c’est bien avec Vital Kamerhe que le président du TP Mazembe semble le plus proche. Il faut dire que comme lui, Kamerhe a été un très proche de Joseph Kabila, avant de claquer la porte du parti présidentiel en 2009.
Au centre du jeu politique
Avec la victoire du TP Mazembe ce dimanche, Moïse Katumbi a réussi en 90 minutes d’un match de football, ce qu’il aurait mis plusieurs mois à réaliser en campagne électorale : fédérer tout une nation et montrer à tous les Congolais un pays qui gagne. En s’affichant dans les tribunes, avec à la fois Boshab et Kamerhe, Katumbi démontre qu’il peut être le point de convergence entre majorité et opposition. Une position stratégique qui le place au centre du jeu politique à un an de la présidentielle 2016. Une place idéale sur un terrain de football… comme en politique.
Christophe RIGAUD
- See more at: http://fr.africatime.com/republique_democratique_du_congo/articles/rdc-lautre-victoire-du-tp-mazembe#sthash.Ootn0aze.dpuf
RDC : l’autre victoire du TP Mazembe
(Afrikarabia 09/11/15)
En devenant champion d’Afrique pour la cinquième fois de son histoire, le Tout Puissant Mazembe propulse Moïse Katumbi au rang de « héros national », au grand dam de la majorité présidentielle qui voit dans l’ex-gouverneur du Katanga un dangereux rival pour la présidentielle de 2016.
Tout semble lui réussir. Ce dimanche, dans son fief de Lubumbashi, l’ex-gouverneur du Katanga est devenu le Tout Puissant Moïse Katumbi. Son club de football, le Tout Puissant Mazembe, a effet remporté pour la cinquième fois la Ligue des champions d’Afrique face à l’USM d’Alger. Une victoire attendue, mais qui prend un drôle de relief en République démocratique du Congo (RDC). Car en dehors des stades de football, Moïse Katumbi joue un autre match… sur le terrain politique.
Et Katumbi franchit le rubicon
Le climat est particulièrement tendu à Kinshasa à un an de la prochaine élection présidentielle, prévue fin 2016. Le président Joseph Kabila est soupçonné de vouloir s’accrocher au pouvoir, alors que la Constitution lui interdit de briguer un troisième mandat. Sur la route, de la présidentielle, Joseph Kabila ou le futur candidat de la majorité présidentielle risque de retrouver un ancien allié : Moïse Katumbi, le très populaire ancien gouverneur du Katanga… et l’heureux président du TP Mazembe. En septembre, le Tout Puissant Moïse a franchi le rubicon en démissionnant du parti présidentielle, dénonçant la volonté de Joseph Kabila de vouloir modifier la Constitution pour rester au pouvoir. Depuis cette date, plus personne n’est dupe des ambitions présidentielles de l’ex-gouverneur de la riche province minière.
Un match politique
En quelques jours, le très charismatique président du TP Mazembe est passé d’allié du président Kabila à rival, dans son propre fief katangais. Le match de dimanche a donc pris une tournure politique inattendue. La victoire du TP Mazembe deviendrait, de fait, la victoire de son président, possible candidat à la présidentielle. Pour preuve de l’importance de l’enjeu politique du match contre Alger : la mobilisation de toute la classe politique congolaise. Après la première victoire du match aller, les caciques de la majorité s’étaient peu manifestés publiquement pour encourager l’équipe de Lubumbashi. Dans les journaux, les caricaturistes s’étaient amusés de la situation. Dans Le Potentiel, le titre le plus lu à Kinshasa, le dessinateur Kash avait représenté les « gros bras » de la majorité arborant des maillots « vive l’Algérie ».
L’allié Kamerhe dans les tribunes
Ce dimanche, le stade de Lubumbashi était « the place to be » pour les politiques. Même Evariste Boshab, ministre de l’Intérieur et haut responsable du parti présidentiel était assis à côté de Moïse Katumbi. Le Premier ministre, Matata Ponyo s’est même fendu d’un message de soutien sur son compte Twitter. Mais c’est dans l’opposition que les leaders se sont bousculés à Lubumbashi pour assister au match. La visite la plus remarquée a sans doute été celle de Vital Kamerhe, le patron de l’UNC, qui est même venu saluer le Tout Puissant Moïse avant le match dans sa résidence privée. La venue de Kamerhe symbolise le mieux les nouvelles alliances qui sont en train de se nouer entre l’opposition et Katumbi. Même si l’ex-gouverneur a rencontré l’opposant historique de l’UDPS, Etienne Tshisekedi, et passé un coup de fil au patron du MLC, Jean-Pierre Bemba, c’est bien avec Vital Kamerhe que le président du TP Mazembe semble le plus proche. Il faut dire que comme lui, Kamerhe a été un très proche de Joseph Kabila, avant de claquer la porte du parti présidentiel en 2009.
Au centre du jeu politique
Avec la victoire du TP Mazembe ce dimanche, Moïse Katumbi a réussi en 90 minutes d’un match de football, ce qu’il aurait mis plusieurs mois à réaliser en campagne électorale : fédérer tout une nation et montrer à tous les Congolais un pays qui gagne. En s’affichant dans les tribunes, avec à la fois Boshab et Kamerhe, Katumbi démontre qu’il peut être le point de convergence entre majorité et opposition. Une position stratégique qui le place au centre du jeu politique à un an de la présidentielle 2016. Une place idéale sur un terrain de football… comme en politique.
Christophe RIGAUD
- See more at: http://fr.africatime.com/republique_democratique_du_congo/articles/rdc-lautre-victoire-du-tp-mazembe#sthash.Ootn0aze.dpuf
RDC : l’autre victoire du TP Mazembe
(Afrikarabia 09/11/15)
En devenant champion d’Afrique pour la cinquième fois de son histoire, le Tout Puissant Mazembe propulse Moïse Katumbi au rang de « héros national », au grand dam de la majorité présidentielle qui voit dans l’ex-gouverneur du Katanga un dangereux rival pour la présidentielle de 2016.
Tout semble lui réussir. Ce dimanche, dans son fief de Lubumbashi, l’ex-gouverneur du Katanga est devenu le Tout Puissant Moïse Katumbi. Son club de football, le Tout Puissant Mazembe, a effet remporté pour la cinquième fois la Ligue des champions d’Afrique face à l’USM d’Alger. Une victoire attendue, mais qui prend un drôle de relief en République démocratique du Congo (RDC). Car en dehors des stades de football, Moïse Katumbi joue un autre match… sur le terrain politique.
Et Katumbi franchit le rubicon
Le climat est particulièrement tendu à Kinshasa à un an de la prochaine élection présidentielle, prévue fin 2016. Le président Joseph Kabila est soupçonné de vouloir s’accrocher au pouvoir, alors que la Constitution lui interdit de briguer un troisième mandat. Sur la route, de la présidentielle, Joseph Kabila ou le futur candidat de la majorité présidentielle risque de retrouver un ancien allié : Moïse Katumbi, le très populaire ancien gouverneur du Katanga… et l’heureux président du TP Mazembe. En septembre, le Tout Puissant Moïse a franchi le rubicon en démissionnant du parti présidentielle, dénonçant la volonté de Joseph Kabila de vouloir modifier la Constitution pour rester au pouvoir. Depuis cette date, plus personne n’est dupe des ambitions présidentielles de l’ex-gouverneur de la riche province minière.
Un match politique
En quelques jours, le très charismatique président du TP Mazembe est passé d’allié du président Kabila à rival, dans son propre fief katangais. Le match de dimanche a donc pris une tournure politique inattendue. La victoire du TP Mazembe deviendrait, de fait, la victoire de son président, possible candidat à la présidentielle. Pour preuve de l’importance de l’enjeu politique du match contre Alger : la mobilisation de toute la classe politique congolaise. Après la première victoire du match aller, les caciques de la majorité s’étaient peu manifestés publiquement pour encourager l’équipe de Lubumbashi. Dans les journaux, les caricaturistes s’étaient amusés de la situation. Dans Le Potentiel, le titre le plus lu à Kinshasa, le dessinateur Kash avait représenté les « gros bras » de la majorité arborant des maillots « vive l’Algérie ».
L’allié Kamerhe dans les tribunes
Ce dimanche, le stade de Lubumbashi était « the place to be » pour les politiques. Même Evariste Boshab, ministre de l’Intérieur et haut responsable du parti présidentiel était assis à côté de Moïse Katumbi. Le Premier ministre, Matata Ponyo s’est même fendu d’un message de soutien sur son compte Twitter. Mais c’est dans l’opposition que les leaders se sont bousculés à Lubumbashi pour assister au match. La visite la plus remarquée a sans doute été celle de Vital Kamerhe, le patron de l’UNC, qui est même venu saluer le Tout Puissant Moïse avant le match dans sa résidence privée. La venue de Kamerhe symbolise le mieux les nouvelles alliances qui sont en train de se nouer entre l’opposition et Katumbi. Même si l’ex-gouverneur a rencontré l’opposant historique de l’UDPS, Etienne Tshisekedi, et passé un coup de fil au patron du MLC, Jean-Pierre Bemba, c’est bien avec Vital Kamerhe que le président du TP Mazembe semble le plus proche. Il faut dire que comme lui, Kamerhe a été un très proche de Joseph Kabila, avant de claquer la porte du parti présidentiel en 2009.
Au centre du jeu politique
Avec la victoire du TP Mazembe ce dimanche, Moïse Katumbi a réussi en 90 minutes d’un match de football, ce qu’il aurait mis plusieurs mois à réaliser en campagne électorale : fédérer tout une nation et montrer à tous les Congolais un pays qui gagne. En s’affichant dans les tribunes, avec à la fois Boshab et Kamerhe, Katumbi démontre qu’il peut être le point de convergence entre majorité et opposition. Une position stratégique qui le place au centre du jeu politique à un an de la présidentielle 2016. Une place idéale sur un terrain de football… comme en politique.
Christophe RIGAUD
- See more at: http://fr.africatime.com/republique_democratique_du_congo/articles/rdc-lautre-victoire-du-tp-mazembe#sthash.Ootn0aze.dpuf
RDC : l’autre victoire du TP Mazembe
(Afrikarabia 09/11/15)
En devenant champion d’Afrique pour la cinquième fois de son histoire, le Tout Puissant Mazembe propulse Moïse Katumbi au rang de « héros national », au grand dam de la majorité présidentielle qui voit dans l’ex-gouverneur du Katanga un dangereux rival pour la présidentielle de 2016.
Tout semble lui réussir. Ce dimanche, dans son fief de Lubumbashi, l’ex-gouverneur du Katanga est devenu le Tout Puissant Moïse Katumbi. Son club de football, le Tout Puissant Mazembe, a effet remporté pour la cinquième fois la Ligue des champions d’Afrique face à l’USM d’Alger. Une victoire attendue, mais qui prend un drôle de relief en République démocratique du Congo (RDC). Car en dehors des stades de football, Moïse Katumbi joue un autre match… sur le terrain politique.
Et Katumbi franchit le rubicon
Le climat est particulièrement tendu à Kinshasa à un an de la prochaine élection présidentielle, prévue fin 2016. Le président Joseph Kabila est soupçonné de vouloir s’accrocher au pouvoir, alors que la Constitution lui interdit de briguer un troisième mandat. Sur la route, de la présidentielle, Joseph Kabila ou le futur candidat de la majorité présidentielle risque de retrouver un ancien allié : Moïse Katumbi, le très populaire ancien gouverneur du Katanga… et l’heureux président du TP Mazembe. En septembre, le Tout Puissant Moïse a franchi le rubicon en démissionnant du parti présidentielle, dénonçant la volonté de Joseph Kabila de vouloir modifier la Constitution pour rester au pouvoir. Depuis cette date, plus personne n’est dupe des ambitions présidentielles de l’ex-gouverneur de la riche province minière.
Un match politique
En quelques jours, le très charismatique président du TP Mazembe est passé d’allié du président Kabila à rival, dans son propre fief katangais. Le match de dimanche a donc pris une tournure politique inattendue. La victoire du TP Mazembe deviendrait, de fait, la victoire de son président, possible candidat à la présidentielle. Pour preuve de l’importance de l’enjeu politique du match contre Alger : la mobilisation de toute la classe politique congolaise. Après la première victoire du match aller, les caciques de la majorité s’étaient peu manifestés publiquement pour encourager l’équipe de Lubumbashi. Dans les journaux, les caricaturistes s’étaient amusés de la situation. Dans Le Potentiel, le titre le plus lu à Kinshasa, le dessinateur Kash avait représenté les « gros bras » de la majorité arborant des maillots « vive l’Algérie ».
L’allié Kamerhe dans les tribunes
Ce dimanche, le stade de Lubumbashi était « the place to be » pour les politiques. Même Evariste Boshab, ministre de l’Intérieur et haut responsable du parti présidentiel était assis à côté de Moïse Katumbi. Le Premier ministre, Matata Ponyo s’est même fendu d’un message de soutien sur son compte Twitter. Mais c’est dans l’opposition que les leaders se sont bousculés à Lubumbashi pour assister au match. La visite la plus remarquée a sans doute été celle de Vital Kamerhe, le patron de l’UNC, qui est même venu saluer le Tout Puissant Moïse avant le match dans sa résidence privée. La venue de Kamerhe symbolise le mieux les nouvelles alliances qui sont en train de se nouer entre l’opposition et Katumbi. Même si l’ex-gouverneur a rencontré l’opposant historique de l’UDPS, Etienne Tshisekedi, et passé un coup de fil au patron du MLC, Jean-Pierre Bemba, c’est bien avec Vital Kamerhe que le président du TP Mazembe semble le plus proche. Il faut dire que comme lui, Kamerhe a été un très proche de Joseph Kabila, avant de claquer la porte du parti présidentiel en 2009.
Au centre du jeu politique
Avec la victoire du TP Mazembe ce dimanche, Moïse Katumbi a réussi en 90 minutes d’un match de football, ce qu’il aurait mis plusieurs mois à réaliser en campagne électorale : fédérer tout une nation et montrer à tous les Congolais un pays qui gagne. En s’affichant dans les tribunes, avec à la fois Boshab et Kamerhe, Katumbi démontre qu’il peut être le point de convergence entre majorité et opposition. Une position stratégique qui le place au centre du jeu politique à un an de la présidentielle 2016. Une place idéale sur un terrain de football… comme en politique.
Christophe RIGAUD
- See more at: http://fr.africatime.com/republique_democratique_du_congo/articles/rdc-lautre-victoire-du-tp-mazembe#sthash.Ootn0aze.dpuf

France : une série d’attaques terroristes fait au moins 120 morts à Paris

$
0
0

La France sous une série d’attaques terroristes, 128 morts à Paris

 

Au moins 128 personnes ont été tuées et plus de 200 autres blessées vendredi 13 novembre dans la soirée à Paris dans une série d'attaques terroristes sans précédent en France, dont un carnage dans la salle de concerts du Bataclan et un attentat suicide au Stade de France a fait une dizaine des morts, François Hollande y assistait un match amicale de foot France contre Allemagne. Il a été exfiltré par son service de sécurité, décrété l'état d'urgence sur l'ensemble du territoire et annoncé le rétablissement des contrôles aux frontières.
Les observateurs  disent que c'est un carnage qui était prévisible.., ils pointent le doigts contre une mauvaise politique de la France, l'interventionniste militaire contre les pays arabes et africains, les guerres du pétrole sous couvert du droit de l'homme, les discriminations internes institutionnalisées en France, ...

Au moins six attaques simultanées à l'arme automatique ou à l'explosif ont été menées dans des quartiers très prisés les soirs de week-end ainsi qu'au Stade de France, au nord de la capitale. S'y déroulait un match amical de football France-Allemagne auquel assistait François Hollande.

L’un des lieux visés par les assaillants est la salle de spectacle Bataclan où quelque 1500 spectateurs étaient présents.

« Deux ou trois individus non masqués sont entrés avec des armes automatiques de type Kalachnikov et ont commencé à tirer à l'aveugle sur la foule », a raconté un journaliste de la radio Europe 1, Julien Pearce, présent dans la salle. Les assaillants « ont tiré en plein dans la foule en criant 'Allah Akbar' », a déclaré un témoin sur la radio France Info.
 © AFP
Les autorités françaises ont évoqué au moins huit assaillants et indiqué qu'ils avaient peut-être encore des complices ou des co-auteurs dans la nature.

Le bilan des attentats « pourrait atteindre voire dépasser les 120 morts », a annoncé le procureur de la République de Paris, François Molins. Huit assaillants ont été tués, dont sept en se faisant exploser, selon une source proche de l'enquête.

 

RDC : Ensemble pour la sauvegarde des intérêts de la République

$
0
0

KABILA = MOBUTU Light... 

Il est venu avec les armes, il partira par les armes,.. il a juré: "j'ai pris le pouvoir dans un chaos, je le laisserai dans le chaos anarchique..."

Font size: Decrease font Enlarge font
imageOpposition - Les opposants de "Joseph Kabila"
Face à Kabila, dont les intentions du glissement ne font plus l’ombre d’un doute, les membres de la nouvelle coalition, à savoir la « Dynamique de l’Opposition » et le Groupe des 7 (G7) ont, en dehors de l’UDPS d’Etienne Tshisekedi, décidé de mettre de côté leurs divergences idéologiques et de se regrouper autour d’un idéal : la sauvegarde des intérêts de la République. 

Ayant tiré les leçons du passé récent, ces formations politiques ont résolu de ne plus retomber dans les mêmes erreurs. « C’est dans l’unité d’action que nous arriverons à bout de la dictature qui s’installe insidieusement au pays », a déclaré un cadre de l’UNC.

Le dernier message du chef de l’Etat, Joseph Kabila, à la nation a tiré l’Opposition de son laxisme. L’Opposition ressoude ses rangs pour faire front au projet macabre qui se prépare au sein de la Majorité au pouvoir. Désormais, le G7 et la Dynamique de l’Opposition regardent dans la même direction. Sans détours, les deux tendances de l’Opposition ont redit, à haute voix,  leur refus de prendre part à une quelconque rencontre qui tenterait de maintenir Kabila dans la course au-delà de 2016. Partisans de l’alternance, les membres de la nouvelle coalition s’inscrivent dans la logique de la confrontation. Avec pour seul objectif : contrer Kabila.

Face aux enjeux de l’heure, l’Opposition se réorganise et se consolide. Lundi à la paroisse Notre-Dame de Fatima, à Gombe, la Dynamique de l’Opposition et le groupe de 7 (G7) ont harmonisé leurs vues avant de rendre publique une position commune contre la convocation du dialogue initié par le chef de l’Etat. Les deux parties se positionnent désormais en un « Front commun de l’opposition » au président de la République.

Face à Kabila, dont les intentions du glissement ne font plus l’ombre d’un doute, les membres de la nouvelle coalition, à savoir la « Dynamique de l’Opposition » et le Groupe des 7 (G7) ont, en dehors de l’UDPS d’Etienne Tshisekedi, décidé de mettre de côté leurs divergences idéologiques et de se regrouper autour d’un idéal : la sauvegarde des intérêts de la République.
Ayant tiré les leçons du passé récent, ces formations politiques ont résolu de ne plus retomber dans les mêmes erreurs. « C’est dans l’unité d’action que nous arriverons à bout de la dictature qui s’installe insidieusement au pays », a déclaré un cadre de l’UNC, présent à la rencontre de Fatima.
Olivier Kamitatu de l’Alliance pour le renouveau du Congo (ARC) a affirmé, parlant de ses collègues de la Dynamique et du G7 que « Personne parmi eux n’est disposé à trahir la Constitution pour des intérêts personnels ». Un cadre du Mouvement social pour le renouveau (MSR) s’est montré incisif : 

« Cette réorganisation de l’Opposition est un signal fort. Un premier pas qui pourrait aller jusqu’à des concessions majeures du genre la mise en place des listes communes lors des scrutins à venir ». Des cadres de l’Unafec et de l’Unadef n’hésitent pas à déclarer à l’unisson « qu’il est plus que temps de désigner un candidat unique à la présidentielle pour se mettre résolument à la tâche ».
Au regard de toutes ces dispositions d’esprit qui règnent depuis un temps au sein de ces deux tendances de l’Opposition, il y a lieu de s’attendre à une reconfiguration qui rendrait la compétition électorale attrayante et intéressante pour les électeurs ainsi que pour les partenaires.

L’appel de Fatima

A Fatima, la Grande coalition de l’Opposition voit déjà dans dialogue proposé par le chef de l’Etat l’ombre d’un « coup d’Etat constitutionnel », savamment préparé par la MP. La déclaration commune va droit au but : « Il n’y a plus de doute possible. Il n’y a plus de procès d’intention. En décidant de la convocation de son fameux dialogue et en précisant les contours, M. Joseph Kabila s’érige en obstacle principal à la démocratie dans notre pays. Plus singulièrement, en invitant les délégués à son dialogue à + réfléchir sur un nouveau système électoral avec des modalités de vote moins coûteuses +, M. Kabila ne fait plus mystère de son intention manifeste, planifiée et délibérée, de renverser le régime constitutionnel pour s’accrocher au pouvoir. C’est un véritable coup d’Etat constitutionnel ! ».

Malgré ce semblant de bonne foi, dont le chef de l’Etat s’est efforcé à se couvrir dans son message du 28 novembre 2015, la coalition de l’Opposition met en doute la sincérité de Kabila. « En décidant, rappelle-t-elle, de faire la sourde oreille aux sonnettes d’alarme des déclarations, communiqués, messages, prises de position et conseils avisés de la Dynamique de l’Opposition, du G7, de la Conférence épiscopale nationale du Congo, de la Société civile, de la Diaspora congolaise ainsi que des partenaires internationaux sur l’importance du respect absolu de la Constitution de la République, comme gage de paix et de stabilité, M. Kabila démontre qu’il a toujours nourri le projet funeste de vider la Constitution de toute sa substance afin de s’offrir une présidence à vie. Tous les éléments de la haute trahison sont désormais réunis ».
Et de s’interroger : « Devant cette situation, que nous reste-t-il encore ?  Sinon, le choix de nous lever et de marcher ! »
La mauvaise foi du pouvoir étant établie, fustigent la Dynamique de l’Opposition et le G7, ils dévoilent leur ligne de défense. Ils disent non au dialogue, à un gouvernement de transition, à la violation ou au changement de la Constitution, au référendum, au glissement. En revanche, ils disent oui au respect strict de la Constitution, à la libération de tous les prisonniers d’opinion, aux élections nationales dans les délais constitutionnels et à l’alternance démocratique.
Etant donné l’ampleur de l’enjeu, le Front commun contre Joseph Kabila lance un vibrant appel à la Nation : « Peuple congolais, lève-toi et marche pour sauver la démocratie et la Constitution ». Dans la foulée, ils indiquent qu’« incessamment, un chronogramme d’actions de grande envergure sera annoncé, car la liberté s’arrache! ».

Qu’en est-il alors de l’UDPS ?

En ce qui concerne, particulièrement l’UDPS, il s’avère que le parti d’Etienne Tshisekedi, qui jouit encore d’une large influence dans l’opinion interne, n’est pas à négliger. Jusque-là, ce parti d’Opposition et son leader charismatique incarnent la lutte du peuple congolais pour le changement et l’instauration d’une vraie démocratie en RDC. Toutefois, une certaine opinion leur reproche l’adhésion au principe du dialogue mais également leur éventuelle participation à un gouvernement de transition qui sortirait du dialogue politique. Selon les tenants de cette opinion, tous ces avantages que l’on fait miroiter à l’UDPS ne devraient pas prendre le dessus sur la lutte menée depuis plusieurs décennies.

« Des passerelles existeront toujours entre l’UDPS et nous », a déclaré un dirigeant influent du G7. Un autre d’ajouter : « C’est une erreur de parcours que commettrait l’UDPS en participant au dialogue. Mais lorsqu’elle se brûlera les doigts, nous l’accepterons moyennant des aménagements. Nous ne laisserons pas l’UDPS au bord de la route. Elle prendra le train à la deuxième ou troisième gare ». Et de conclure : « Je fais confiance à l’UDPS et à son président ».

Avec ou sans l’UDPS, il apparait que des forces politiques de l’Opposition ont décidé de ne plus œuvrer en ordre dispersé face à la MP qui se fissure et où le doute commence à s’installer. Le soutien inattendu des évêques catholiques a certainement assagi l’Opposition qui se veut désormais sérieuse dans ses démarches pour l’alternance politique.
Ci-dessous, la déclaration qui consacre l’unité de deux tendances de l’Opposition, à savoir la Dynamique de l’Opposition et le G7.

LA DYNAMIQUE DE L’OPPOSITION ET LE G7

DECLARATION POLITIQUE CONJOINTE DU 30 NOVEMBRE 2015 
PEUPLE CONGOLAIS LEVE-TOI ET MARCHE POUR SAUVER LA DEMOCRATIE ET LA CONSTITUTION

Chers compatriotes,

L’heure est grave ! Nous, membres du G7 et de la Dynamique de l’Opposition, après avoir suivi le message du Président Kabila du 28 novembre courant, avons décidé de faire conjointement la déclaration politique ci-après :

1. Il n’y a plus de doute possible. Il n’y a plus de procès d’intention. En décidant de la convocation de son fameux dialogue et en en précisant les contours, Monsieur Joseph Kabila s’érige en obstacle principale la démocratie dans notre pays.

Plus singulièrement, en invitant les délégués à son dialogue à "réfléchir sur un nouveau système électoral avec des modalités de vote moins coûteuses", Monsieur Kabila ne fait plus mystère de son intention manifeste, planifiée et délibérée de renverser le régime constitutionnel pour s’accrocher au pouvoir. C’est un véritable coup d’Etat constitutionnel ! 

2. Puisqu’il s’agit là d’une forfaiture et d’une imposture qu’aucun Congolais ne peut accepter, Ses membres du G7 et de la Dynamique de l’Opposition appellent le peuple congolais à l’application de l’article 64 de la Constitution qui nous assigne le devoir de faire échec à tout Congolais ou groupe d’individus qui prend le pouvoir par !a force ou qui l’exerce en violation de la Constitution.

3. En décidant de faire la sourde oreille aux sonnettes d’alarme des déclarations, communiqués,, messages, prises de position et conseils avisés de la Dynamique de l’opposition, du G7, de la Conférence Episcopale Nationale du Congo, de la Société civile, de la Diaspora congolaise ainsi que des partenaires internationaux sur l’importance du respect absolu de la Constitution de la République, comme gage de paix et de stabilité, Monsieur Kabila démontre qu’il a toujours nourri lé projet funeste de vider la Constitution de toute sa substance afin de s’offrir une présidence à vie.
Tous les éléments de la haute trahison sont désormais réunis. 
4. Dans la semaine du 19 au 25 janvier de cette année, le sang du peuple congolais a coulé. Pour faire entendre sa voix, le peuple n’a pas hésité un seul instant à aller au sacrifice suprême afin d’exprimer son refus de voir Monsieur Kabila se maintenir au pouvoir au-delà du 19 décembre 2016 en violation de la Constitution. Le peuple congolais réprouvait l’instauration d’une nouvelle dictature et exprimait ainsi son attachement au respect strict de la Constitution et à l’alternance démocratique qui en est l’expression la plus forte.

5. Après avoir supprimé en janvier 2011, Le deuxième tour du scrutin présidentiel, Monsieur Kabila a maintenant décidé de congédier purement et simplement le souverain primaire en lui arrachant le pouvoir de choisir son Président de la République au suffrage universel direct. Ce faisant, Monsieur Kabila se présente en incarnation de la gouvernance par an dans laquelle excelle. Pour nous, membres de la Dynamique de l’Opposition et du G7, c’est de l’irresponsabilité coupable et c’est une déclaration de guerre contre le peuple congolais.
6. Parmi toutes les affirmations que contient le message de Monsieur Kabila, deux contre-vérités majeures et intolérables se dégagent : c’est refuser l’ordre républicain repris dans l’article 220 de la Constitution et c’est vouloir opposer Démocratie et Développement.

7. A la sécurité, à la paix et à la liberté de tous les Congolais, au respect de l’ordre institutionnel repris dans la Constitution adoptée par plus de 85 % des Congolais et au respect des règles de bonne gouvernance, Monsieur Kabila oppose l’insécurité généralisée, la désacralisation des institutions par leur instrumentalisation, la profanation répétée du budget de l’Etat, la corruption généralisée, la confiscation des biens et atteintes à la propriété privée, la .dilapidation du patrimoine public, le dédoublement et la déstabilisation des partis politiques de l’opposition, les menaces, harcèlements et arrestations arbitraires des opposants et des activistes de défense des droits de l’homme, la confiscation des médias publics ainsi que la fermeture de ceux proches de l’opposition .

8. Devant cette situation, que nous reste-t-il encore ? Sinon, le choix de nous lever et de marcher 1 Voilà pourquoi nous disons :
- Non au dialogue
- Non à un gouvernement de transition
- Non à la violation ou au changement de la Constitution
- Non au référendum,
- Non au glissement,
- Oui au respect strict de la Constitution,
- Oui à la libération de tous les prisonniers d’opinion,
- Oui aux élections nationales dans les délais constitutionnels,
- Oui à l’alternance démocratique.

9. Dans tous les cas, le seul événement historique que le peuple congolais attend avec impatience demeure la prestation de serment le 20 décembre 2016 du nouveau Président de la République élu au suffrage universel direct, à l’issue des élections nationales du 27 novembre 2016.

10. Nous, G7 et Dynamique de l’Opposition, lançons un vibrant appel à la Nation. "Peuple Congolais lève toi et marche pour sauver la Démocratie et la Constitution ".
11. Incessamment, un chronogramme d’actions de grande envergure sera annoncé car la liberté s’arrache !
Que Dieu bénisse la République Démocratique du Congo et son vaillant peuple.

Fait à Kinshasa, le 30 novembre 2015
Dynamique de l’Opposition et G7

Cet article a été lu 212 fois

RDC: Moïse Katumbi annonce son appartenance à l’opposition

$
0
0

KABILA DÉGAGE..DÉGAGE

Nous en avons Mare Mare Mare 
de toi, Kabila DÉGAGE DÉGAGE DÉGAGE
L’ancien gouverneur du Katanga précise cependant qu’il n’a rejoint aucune formation politique. Radio Okapi/Ph. John Bompengo
L’ancien gouverneur du Katanga, Moïse Katumbi, a annoncé dimanche 3 janvier à Lubumbashi son appartenance à l’opposition politique. Au cours d’une conférence de presse, il a cependant précisé qu’il n’a rejoint aucune formation politique et n’a pas créé de parti politique.
Moïse Katumbi indique cependant appartenir au « Front citoyen 2016 ». Cette plateforme créée récemment regroupe des Congolais de la diaspora, des membres des organisations de la société civile, des confessions religieuses, des organisations politiques de l’opposition ainsi que des personnalités politiques qui militent pour le strict respect de la constitution. 
« L’objectif du Front citoyen est d’abord d’insister sur les élections provinciales de 2016 et l’élection présidentielle de 2016 en respectant les délais constitutionnels et avoir le calendrier [électoral] le plus vite possible », explique M. Katumbi.  
L’ancien gouverneur du Katanga qui a quitté le parti présidentiel en septembre dernier, affirme que des pourparlers sont menés pour avoir un candidat unique de l’opposition à la prochaine présidentielle.
« J’ai rencontré Félix Tshisekedi. J’ai rencontré beaucoup de personnes. J’ai aussi rencontré beaucoup d’opposants au niveau de la province du Katanga. Nous sommes en pourparlers pour avoir un candidat de l’opposition », explique-t-il.
Au sujet de l’identité de ce candidat, Moïse Katumbi dit que l’opposition va se décider.
« Ce n’est pas à moi de décider qui peut être le candidat de l’opposition. Au moment venu, l’opposition va elle-même proclamer son candidat », affirme-t-il.
Par ailleurs, M. Katumbi félicite les personnes qui ont participé à la rencontre sur l’île de Gorée.
« Le plus important pour moi est de féliciter ces gens qui ont participé à cette réunion du Front citoyen à l’île de Gorée. Et ils ne doivent même pas avoir peur. Ils sont libres d’aller n’importe où ils peuvent contribuer à notre pays. J’ai délégué quelqu’un qui était à l’île de Gorée. Moi j’étais au Japon [pour la coupe du monde des clubs]. Si j’étais au pays, j’allais être là aussi », fait-il savoir.
Selon les opposants qui ont pris part à cette rencontre de Gorée, cette réunion était axée sur les élections en Afrique subsaharienne.
Mais les autorités de Kinshasa rejettent cette explication. Le président de l’Assemblée nationale a affirmé le 15 décembre que ce groupe est allé au Sénégal apprendre des pratiques subversives afin de réfléchir sur les meilleures voies et moyens pour un soulèvement populaire en RDC.
Lire aussi sur radiookapi.net: 

RDC: la Dynamique de l’opposition et le G7 récusent la démarche de l’Union africaine

$
0
0

KABILA DEGAGE, DEGAGE, DEGAGE, NOUS SOMMES FATIGUE DE TOI, 

Trop des tuéries, trop de pillages, trop de souffrance du peuple congolais

De gauche à droite; Gabriel Mokia, Ingele Ifoto, Vital Kamerhe et Eva Bazaiba, tous membres de l’opposition congolaise assistant à l’ouverture du premier colloque de la Dynamique de l’opposition congolaise le 04/11/2015 à Kinshasa. Radio Okapi/Ph. John Bompengo
La Dynamique de l’opposition et le G7 désapprouvent la démarche de l’Union africaine (UA) qui, depuis cinq jours, a désigné l’ancien Premier ministre togolais, Edem Kodjo pour mener des consultations en vue du dialogue national.
Ces deux plates-formes de l’opposition ont exprimé leur position dans une lettre, adressée jeudi 21 janvier, à la présidente de la commission de l’Union africaine, Nkosazana Dlamini-Zuma.
Le chef de l’Etat congolais, Joseph Kabila, avait annoncé, fin novembre dernier, la convocation d’un dialogue politique inclusif «avec pour objectif de trouver des solutions consensuelles aux questions majeures qui minent le processus électoral, ouvrant la voie à des élections crédibles et apaisées».
La Dynamique et le G7 disent également ne pas souscrire à la facilitation initiée par Madame Zuma qui, selon eux, ne fait pas une bonne lecture de la situation politique actuelle en RDC.
«Nous nous sommes rendus comptes que Madame Zuma est très mal renseignée parce qu’en réalité, il y a en RDC ni crise institutionnelle, ni crise constitutionnelle. C’est une crise artificiellement créé par Monsieur Kabila parce qu’il a envie de rester au pouvoir aussi longtemps qu’il voudrait», a indiqué le modérateur de la Dynamique de l’opposition, Jean-Lucien Busa Tongba.
Ce cadre de l’opposition s’étonne également que la présidente de l’UA n’ait pas fait, dans son communiqué, allusion au respect de la constitution en RDC.
A (re) Lire: RDC: la Dynamique de l’opposition ne participera pas au dialogue politique
Pour la Dynamique de l’opposition et le G7, Nkosazana Dlamini-Zuma  a pris une option qui ne facilite pas de réponses pertinentes aux problèmes qui se posent en RDC.
Hostile au dialogue annoncé par le chef de l’Etat, la Dynamique de  l’opposition avait déclaré, lundi dernier, qu’Edem Kodjo n’est pas le bienvenu en RDC.
Cette plate-forme estime par ailleurs que ce n’est pas le dialogue qui intéresse les Congolais maintenant, mais plutôt les élections de 2016.

Burundi : l’ONU accuse le Rwanda

$
0
0
  • Kagame à la une encore dans la déstabilisation du Burundi 
  • après la RDC...
  • Le chaos du Grand Lac, n'en finira jamais tant que 
  • KAGAME-KABILA-NKURUNZIZA seront au pouvoir
Selon l’agence Reuters, un rapport confidentiel du Conseil de sécurité des Nations Unies accuse le Rwanda de recruter et d’entraîner des réfugiés burundais dans le but de renverser le président Pierre Nkurunziza.
Image copyright
Le rapport a été rédigé par des experts de l'ONU chargés d’évaluer les sanctions contre la République démocratique du Congo(RDC).
Ils expliquent que l’entrainement s’est déroulé dans un camp situé dans une forêt rwandaise.
Les experts affirment s’être entretenus avec 18 combattants burundais dans la province du Sud-Kivu en RDC.
L'agence de presse qui cite le rapport, souligne Reuters cite le rapport, en soulignant que ces derniers avaient tous affirmé qu’ils ont tous été recrutés en mai et juin 2015 dans le camp de réfugiés Mahama dans l'est du Rwanda.
Ils auraient été formés pendant deux mois par des instructeurs militaires, parmi lesquels des soldats rwandais.
La ministre rwandaise des affaires étrangères, Louise Mushikiwabo , a rejeté ces accusations qu'elle a qualifiées d'absurdes.
Le Burundi avait récemment accusé son voisin de chercher à le destabiliser.

RENCONTRE KATUMBI- KAMERHE- Tchisekedi

$
0
0

Le front de l’opposition congolaise ne désarme pas, Kabila doit partir sinon..

HUBERT LECLERCQ Publié le 


Ce mardi, dans nos colonnes, nous reprenions certains commentaires de la presse kinoise qui relevait : "Elire le président de la République à la fin de cette année comme le prescrit la Constitution congolaise, est désormais impossible". 
.


Un couperet qui tombait après une rencontre entre le gouvernement congolais, la Commission électorale nationale indépendante (Ceni) et les bailleurs de fonds internationaux.
Un coup dur pour l’opposition congolaise qui martèle depuis de longs mois qu’il n’est pas question de laisser "glisser" le mandat du président Joseph Kabila. 
"La Constitution est claire et limpide", nous explique un membre du G7, plate-forme politique qui regroupe sept partis politiques qui ont décidé de claquer la porte de la majorité présidentielle au mois de septembre dernier. 

"La Constitution prévoit que le président de la République est élu pour 5 ans et qu’il ne peut briguer que deux mandats consécutifs. 
Le règne de Joseph Kabila doit donc s’achever le 19 décembre 2016, après la tenue de l’élection présidentielle en novembre. 
Tout le reste s’apparente à une violation de ce texte qui a été approuvé par 85 % des Congolais."
Dans les rangs de la majorité, on brandit 
"l’incapacité matérielle d’organiser ce scrutin présidentiel dans les temps", 
sur l’air du "on voudrait bien mais on ne peut point", par manque de temps, par manque d’argent.

"Comme si Hollande s’incrustait"
Une argumentation balayée d’un revers de la main par les mouvements citoyens qui font de plus en plus entendre leur voix dans un Congo qui vit désormais dans la crainte d’un embrasement. 
"Imaginez que le président français François Hollande, même au terme d’un seul mandat, annonce qu’il n’y a pas assez de fonds dans les caisses de l’Etat français et qu’il faudra donc passer par une prolongation de facto de son mandat avant de passer par les urnes. 
Ce serait le tollé. La France serait mise au ban des nations. Pourquoi devrions-nous accepter, au Congo, ce qui est inacceptable en Europe. 
La démocratie aurait-elle un goût différent sous les tropiques ?", s’interroge faussement notre interlocuteur de passage cette semaine aussi à Bruxelles et qui préfère s’exprimer anonymement… 
"pour ne pas donner trop de raison au pouvoir à Kinshasa de me refouler ou de me mettre à l’ombre"
Il est vrai que la tension est palpable désormais en République démocratique du Congo, particulièrement dans la capitale Kinshasa et à Lubumbashi, la cité cuprifère du Sud-Est du pays, ex-bastion de la Kabilie, devenue un des principaux foyers de la contestation au président Kabila depuis que le dernier gouverneur de la province unie, Moïse Katumbi, a claqué la porte de la majorité.
Katumbi, Kamerhe, Felix Tshisekedi unis: Pasi ya congolais pasi na nga
L’appel des trois ténors
Aujourd’hui, Moïse Katumbi est devenu un des moteurs essentiels de l’opposition, au même titre qu’un Vital Kamerhe ou Félix Tshisekedi. 
Trois hommes, réunis pour la première fois en front commun, ont décidé de lancer un appel vidéo (voir vidéo exclusive sur la libre.be) à la population congolaise pour qu’elle reste mobilisée pour le respect de la Constitution. 
Katumbi a lancé ce type de mouvement pacifiste au milieu du mois de janvier, en appelant tous les Congolais à s’arrêter deux minutes pour prier pour la paix sur le coup de midi. Un mouvement qui a le don d’énerver les autorités, incapables de mettre un agent de police ou un militaire derrière chaque "prieur" potentiel. 
Les trois ténors espèrent répéter cette mobilisation pacifiste et symbolique en invitant tous les Congolais à se saluer selon un rituel qui ne laissera aucun doute sur leur engagement pour le respect de la Constitution

POURQUOI KABILA AGGRAVE UN RÉGIME DE TERREUR A KINSHASA??... Fayulu arrêté ce dimanche 14/02 à son bureau du parti

$
0
0

Kinshasa: l’avocat de Martin Fayulu exige la libération de son client



Martin Fayulu, juillet 2014. Radio Okapi/Ph. John Bompengo
L’avocat du député national Martin Fayulu Madidi exige la libération de son client, arrêté dimanche 14 février au siège de son parti, dans la commune de Kasa-Vubu, à Kinshasa.
Maitre Jean Marie Kabengela Ilunga l’a dit dans un entretien accordé à Radio Okapi :
«Nous demandons sa relaxation pure et simple. Ce pays n’appartient à un individu ou un groupe d’individus. On dit mettre fin à l’arbitraire et aux intimidations».
Il a affirmé que Martin Fayulu a été «enlevé » par un officier des FARDC et emmené vers une destination inconnue pendant qu’il préparait, avec les cardes de son parti (Ecidé), la journée du 16 février.
Des partis de l’opposition appellent à une journée «ville morte » le 16 février prochain en RDC et appellent les Congolais «à rester à la maison» pour «honorer la mémoire de nos concitoyens victimes de la barbarie du 16 février 1992».
Me Jean-Marie Kabengela dit ne pas connaitre la destination où son client a été emmené :
«Nous sommes en train de le rechercher pour savoir où est-ce qu’on l’a amené entre le Camp kokolo ou la Demiap».
Radio Okapi a tenté en vain de joindre la hiérarchie de la police nationale.

JOURNEE VILLE MORTE A KINSHASA MARDI, LE 16/02.., QUE NOUS DEVONS RESPECTER TOUS

$
0
0

RDC:  journée ville morte  confirmée à Kinshasa et en provinces, ce 16 février,

Chers   professeurs, enseignants, étudiants, élèves, fonctionnaires, cadres, commerçants, vendeurs, chômeurs, ... 

nos droits piétinés par le régime Kabila nous obligent d'observer la journée ville morte ce 16 fevrier


Le Commissaire provincial de la Police nationale congolaise, ville de Kinshasa, le général Célestin Kanyama, lors d’une parade le 15/02/2016 à Kinshasa. Radio Okapi/Ph. John Bompengo

La Dynamique de l’opposition, le G7 et le Front anti-dialogue maintiennent leur appel à une journée «ville-morte» le 16 février en RDC. 
L’objectif est de dire non à la révision de la constitution et  oui à l’alternance au pouvoir le 20 décembre 2016, a précisé Vital Kamerhe, président de l’Union pour la nation congolaise (UNC). Mais le Gouvernement insiste sur le caractère ouvrable de cette journée, menaçant de sanctionner tout fonctionnaire qui s’absenterait de son lieu de travail. Il est aussi prévu un déploiement policier à travers Kinshasa pour interpeller ceux qui tenteraient d'empêcher les autres à aller travailler. 

Nous en appelons à une ville-morte et nous interpellons ici la conscience et la responsabilité collective de tout un chacun de manifester en silence en restant à la maison, pour défendre la démocratie”, a déclaré le président de l’Union pour la nation congolaise, parti membre de la plateforme Dynamique de l’opposition.
Comme autrefois le 16 février 1992, a estimé Vital Kamerhe, “aujourd’hui, la démocratie est à nouveau menacée” en RDC. Selon lui, la ville-morte vise à “dire non à la dérive dictatoriale, oui aux élections dans les délais constitutionnels. Tout cela dans le respect des lois de la République, de l’ordre public et des biens publics”.
Cependant, une certaine opinion accuse les initiateurs de cette opération d’être “ennemi de la population congolaise”, dont la majorité vit au jour le jour.  

Cette population vit au taux du jour. Mais avec quel argent? Elle est tout simplement meurtrie. Elle doit donc se battre pour que l’espoir puisse pointer à l’horizon”, a réagi le leader de l’UNC.

Revelation sur la journée ville morte KINSHASA, 16/02

$
0
0
https://www.facebook.com/CongolaisDR/?fref=nf&ft[tn]=kC&ft[qid]=6251664211679603539&ft[mf_story_key]=5512566750853637752&ft[ei]=AQJnHTz9os8_LN8F19ckerZkif6jSWJ19qq5Ng94QTQ6NfzWQRwxchDm-17vBFtg9ng5HB1udzyeby6voAeo3cAZcx7o2_lrXKYORzOGxwr-BpOxCiUD8RjHREWgJywP7_yCVJ_egRe5PukunJafdOvxI_cb_azTj3U41vSPsN0cVVWoy4ACHg7KJVqptEZSUOZkZpSFWvan_qHcW178b3ntSsJT6-dsbE8vnqklFfWbfz0HoMdS-WARnBVL0yb7whTbBJU2nnmkjMGank7aABKQEV0F48GmYyHkwHB3ZI4ziPguYv9pQAyD9yJHwPVaISmz-ODoNhySCIvisD2R_fvSb5Tx2LJx5wnMpaQnq8c21dXL0eCM8SFsPGAsUA6ivLZAfBYBHjcP8_PLapc_tf6K-7FhM9RWiQBYrT-jw8z1QDOQe8woPUXjo6VKAD1FXv0zGVR-pDRRV5Z8VCFsdSLY8EfUncdLNQxopb0Eo2K1gfUR7kjO7ZrS2Z8RlEYnmT_ooPaY2VTQzzq4Ia1vtuRDvgpKpHWWq4z2Lurucl4gTX9lzrTC3Uvr33bhIr1ByHze9P60FReNmm9KfcPJeJkI6ycFCVlGIHC-RNTnLhIYQwf4knIuihVv0YkJXk_1TJ47kNLnZpafczwbM0_Aw6pU_m2LhJEtNwitFkXUjN2ermmm1fjij9vm7RUmux52oeLcUJdfeuxVbJ9Pa7E9O_hGPyjjujSAaj9xtlCrIWrmUM9c5l66_rYGso4-YyAoEtnMldiqWJSdK9ddJhuDGMbJBySNFNRUt7uQ6wyo6D51fx8UHTxVSik16LvJk1wTr-ESqdNNjj4Lk3JY9v2mHu8SzwUQKbcEyxlKf25Ia1QFhwhcBKu0z57n803vKqUlnGj00E-4UaxXwef5laIsfjqSzgXx8-bOGmNVtZ8skVpn-aojfhPMxfO9-ZyheMZ0jWdezYlHO1kiw2DU1GxyBiBxahXx2xzb-wdxRUruor4VDk10NLCYcUgucWHtCuU8UYFWUmR5YFA5g35OWbkgcJNtnqHf0F6CxkmcrboEY9FeUYVG-vtPJEObb_B9OvRl8gHjuScAB--gZOQJC4TKlSChXfyBiuG7m6NyBj3XNpG5bAebCPJUUnmyj-zXOdHbHPAv3QR0tQ5CKv04Rbvq17xxnF5ZsAYO9lwMCuIsXdpC-kpBrvcABRXtC9XpMBYEoF0jJl6ccvTOC3jYPdglbWtTu7KO-6ik5ecnAGyGNLMV0bo_5OiPnAFNdooU9JHC_L7hf0gkHdrvybwpAlouYEY_IGdJn0GiFRn33MYhU3fI_daFBPJHmyF7NSm-W8WM7inZ0m559VoxCzQDW4Nr21croa_wi3qSAdc-IWGk-5gh9NT3StGaTVDXJKns_GL_xbVu4Se8xen7rpYxWtN35OCVJ_zWhakmkBXsPNTo4Ixn1flu65fpdkxLJht_WTS57sGQwVXPJhUBIDA23SY0q6B9y8RbSGUn3AmA9Pq4bgexlBWpOzA70gj_Knt56xDTXL_14cKb2Gf2Hp3PGnIvF-BBC6MK7VwSnTral5jvFed2Imv1WgPXs9SukLy7Cq_KV9hQM7GxiqhOp__BYgKYZMByU7VT3JS3sSzT8pf-IfXhK9zqYVxinbxO3hCM5EtrjqgdTLZbwYS7_p7NSV7QSs4UOut-G1wESn7KfuMaSKGNgqEWYV2dQqPJy2TetUkYdf9vk4DRPAQt3A8i1uS6RzBfj6jOfwumOq60aAjVqUyQj9YBUB_qxhXIoeUQC4ApXIH1szov7VZiyD1h7tLnvYDqg1gWgOYVLkSYuYxGibShkGP4J47qf6bLJA-Pj3GWnEn_GqZnWdy7OaNKZL6EI7c5PR4Z1lqzWzohGXMdwzkbkj1ig6oX5xkHuqwYCa7NQv_iRdrQlxp1aIPHmy4KsFzqTUw7PEIFBSFM798EV-se24cuhL7ztJzkBMn2GGOJTme9oPtaBC1sY7yYaBEEfx11ozDZXA_CaPAVWEMUEBmsR0K7UBNaEYJYGmOthCVQfwVsLkhRGiosy4fmjM0DS67R_wJvMkSj8ApvxIuyJJhiYxjs01LSKkvV9dDhRzoE1-vQXyu3tLn4dZJ6JJbR66ldBMSxQl1kouJPJv4ZjYH3laK7mJPBxMw18Rs7MTp_IbN8Z8KwyOZH2Fji-zMsz3i7-O9YIWKwejCJAvPCOeiCKon1dI_r7CiBmQmPgzgw5RR98LeFsDhH4KYquz1ziT2DlYJGRFj7OkTyu-FjlWtQdv_h1cVFSzWIbFpGVyL0B_Jx7CGBOWSoBclpaElscCmGaucBVjOEY8ZKdQXrFM4j2hKm8xeodDBIJ9Y48C9kVNAozDUxphv3ySKvFUzss4psRYrkB_cFzh_B3bs1gBvEHMtIN28EvwPrN-jnqHYQJC1YhkdJz4TwMtNqfLp3J75_lrKs360KPxmpj7FmFDVonSUfgRUVF-p5pEq5WYj-6Ezzffj_2DjYhL9ruU9NsK9I9T4VY4Me-eJMk-1Pphs8cRcMMJjYeRMCf1rOXHgTUHTWxBekAioRd3sU99NgydyXD9EtYsm-mSvSQ2m8wHmg1OXzZraOyfWe5SAyVHVyAbFZiOVZCxQRrfCrlLjC0vMoWzgEYwZLkXTY7IIUv7sk8DUkT_NGY-FVOfrifoMlL-iN0OoOsfWkvJvsEOMiDhjp-htN1uEOZnz34z769Ir0japxY1FWH9r9cF-toACtHeHFlCy7iUn2_wV5L8TeBLeFyp2q3xEQsHaMA9jbOauVO6Bntopk3ZZNmuX94Txo0Ahgd3TljXatLtnrsGAmuqDxlHq2miQqdBDBU0WJj8JoxXBz9gRxQZW3YmEsfRRnspvx_AT5i40puwxtK-G890Atj11ZXDtG5dT-VsDSNGBwvU95C4k4u3tBXv1flhmVEvH23oPLvtdW0dzRO7ZeRNK9ykT-Sqa_hGPcrzYnV_NcnGiaoOTlcuAJU_beJb1jDYyUK9Jprn3lTORmpmnaq1VS8tgQBzLYIarIwAIwNscJ5X2nVZ0jf-m7QCQOHmFh6tfQazEqROOCnGdkBW77qav-WPmcUFo4RE804xRYzSaQtiVpT8RJxLPYRpI7oLKFcVSLCQSesUznp4m31mNegRxhc5csVCURotD6Ihnc0XgDwLSU1duDoluk3SnNdykgns3q_5ak6GWoXCjoWbI-I-XULxJABeEW3UA02m-7MyzUGz1fpiijgiCRDP2yoM4us5ZbeBF-BBX46R13UrgRosyOFrBJi2IKYE1iB16eBPzqC2Hr572wMReApZYi6mW_zGs9tnslxKIC1cqg4IsM90F9b80cG5q1ij2ngXyWIrKyRLgKzMJf21atR0QVgTMSaVaUwWN-pAeQ3aEYi07aQJhaem6Elq_HD7q1Q4zPJBkfOfLEsh9Vhy2spFK3XsAP-d03nE79_IhtiS-GY6GLX7qPtYfo7lNHngnd9GpcECt9442N00CnrMWujLnDB04Q0Dl-9IMS-t1Lyy6Muj-jB2bnW_OBujNkHWxvHY1xMTqi1bUJU12SIFozl8ju7QqjexL09V5a0yXtcd5unQ0rsLZLNZaq5mGbqYzGAWW0Cb0j8i53liKFMYiXZ-AbknWqJXIoF_5DhuTXMWiFc8EsltxEqUOcvZpZV0tGNDIeZ-_afWLdVxS30v4kIMADi8BjX7a5x8ffbPeaOd5-hZ6aDUsxkCex_P6PiOo49opwLdguhT147DZaJFU2rxgeXNO1_gJZckYlMpYjTNX8__yQWrFaX8t2LO76jeHeCe1hRpTvAlNmJIkQQQBpN1Bd1G7HpnitNBE5MLLIriw1M4XogCZYKKz1a2j7x--PG9QLscNc7EmU8_1n1EHC39Zi42JK3LFic8U8wVu2gO1ucb9cexYNjfDYL3l3XMi8GdBBCrAG5l2n177BhkCkx2631CHEmlXXMN7LctJNIXaGrMFAsotacK35hNmHITwNcsmXtFUR-IMcyw9ilemDh81GYXXiE4VOlneZ22PZMygjq9SN_0_PlqzxrtQRWKG747AFqGrQ4E43Rnw-QWPodsLx0KqJ1lsUC1OqNZ1IS8c_jXdHTbfLgEcWBzdRm3qmh_SUYf02x5PeIQPfNEMa7SxFkkb4QC8&ft[fbfeed_location]=1&ft[insertion_position]=9&__md__=1
Viewing all 749 articles
Browse latest View live